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Quels sont les impacts psychologiques du divorce ?

Les conséquences du divorce sont extrêmement douloureuses et touchent tous les domaines de la vie des divorcés : personnel, familial, économique, social, etc. Pour mieux faire face à cette étape de la vie, je préconise la consultation d’un avocat comme celui proposé sur http://www.trouvervotreavocat.com, car ses conseils peuvent être très utiles.

D’un point de vue global, le divorce est une formalité administrative qui permet de mettre fin à un mariage en toute légalité. Cependant, sous un aspect affectif et émotionnel, c’est une étape qui affecte tous les sens de la vie, que ce soit pour les personnes qui forment le couple, mais aussi pour les enfants (s’il y en a).

Des tourments qui s’établissent en 3 phases

Selon un livre de psychologie que j’ai pu consulter, les effets du divorce se portent en général sur trois phases : le pré-divorce, le divorce, et le post-divorce. La phase pré-divorce c’est le divorce émotionnel. Les époux, ou l’un d’eux sentent que leurs attentes n’ont pas été satisfaites, tombant dans la désillusion, la désaffection, l’anxiété, la confusion, et le désespoir. Dans la phase de divorce, les personnes séparées ressentent confusion, fureur, tristesse, solitude, elles sont ambivalentes...

Elles ont de nombreuses tâches à accomplir pour parvenir à l’adaptation à cette nouvelle situation, parmi lesquelles on doit consulter des avocats sur http://www.trouvervotreavocat.com, séparés physiquement, examiner les accords économiques et de garde… Après le divorce, l’étape consiste à terminer le divorce psychologique, à s’adapter à un nouveau style de vie tout en aidant les enfants à accepter le divorce et à maintenir leurs rôles de parents.

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Les répercussions du divorce chez les enfants

Dans les mois qui suivent le divorce, la plupart des enfants rencontrent des problèmes, en particulier externes (antisociaux, agressifs, désobéissance, manque d'autorégulation, manque de responsabilité et/ou d'accomplissement). Et dans une moindre mesure, anxiété, dépression et problèmes de relations sociales (difficultés avec les parents, la fratrie, les pairs et les enseignants). Le fonctionnement psychologique de la plupart des enfants et de leurs parents s'améliore avec le temps, à mesure que la famille s'adapte au divorce.

Cependant, le niveau moyen d’adaptation émotionnelle, sociale et scolaire des enfants divorcés continue d’être pire que celui des foyers intacts. C’est surtout au cours de la préadolescence (9 à 12 ans) que la réaction au divorce se manifeste généralement par l’expression de sentiments de colère et la tendance à blâmer l’un des parents peut également entraîner des symptômes somatiques. Ils interprètent la séparation dans un code de conduite strict que leurs parents rompent avec la décision de se séparer.

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